Merci infiniment de prendre le temps de visiter marcmartineau.com !
Au travers de ces pages, je vous donne l’opportunité de comprendre et de voir comment je vois le monde autour de moi.
Mes photographies représentent l’émotion du moment. Il y a une démonstration de ce que la nature est aujourd’hui, incluant une certaine touche de fragilité. Vivre dans un monde rapide comme nous vivons aujourd’hui nous amène à penser que le futur nous réserve un monde meilleur. Mais notre entourage est fragile, transitoire et, ce qui a de plus important, merveilleux… Il faut donc y faire attention, dans la mesure du possible et de la liberté d’expression.
La barre de menus vous invite à parcourir ce site.
Vous y trouverez pleins de différents sujets et photographies lors de votre exploration. Je voyage le plus souvent possible avec ma caméra ; vous parcourerez ces pages exactement comme moi quand j’ai découvert ces endroits pour la première fois.
Oiseaux, paysages, photo d’architecture et portrait humain sont mes sujets principaux. Je vous encourage à les regarder et à réaliser ce que la Terre nous offre comme être humain, quelque chose que nous devons être fier et privilégié, que ce soit un building, un oiseaux ou tout simplement un coucher de Soleil !
Une journée photographique est faite de succès mais aussi d’insuccès ; vous y verrez mes réussites, mais jamais mes déceptions. Gardez juste en mémoire que, en arrière de chaque photographie, il y a parfois un travail colossal, du doute, de la résolution de problèmes techniques ainsi que du questionnement. Quelquefois, la réussite vient sans se poser de questions, mais cela est plutôt rare.
Donc, j’espère de tout coeur que vous aimerez ces pages et, si vous avez quelques questions que ce soit, suggestions ou que tout simplement vous n’aimez pas, n’hésitez surtout pas à m’en faire part en m’écrivant une note. Je lirai tous les commentaires avec une grande attention. L’amélioration ne vient qu’avec les défaites.
Encore une fois, un grand merci de prendre de votre temps pour parcourir ces pages.
Marc Martineau