Bonjour à tous les photographes en soif d’apprendre sur la macrophotographie !
Je reçois régulièrement des questions, soit sur Facebook, mon courriel personnel ou bien sur des forums à propos de la macrophotographie. Quoi utiliser, avec quel matériel je fais mes photos en macro, comment avez-vous réussi à capter cet insecte, et j’en passe.
Pour moi, la macrophotographie est un sport. Car, tu ne peux rester planté là à attendre que le sujet vienne à toi, dans la grande majorité des cas. Tu te dois de chercher, suivre, écouter, être toujours à l’affût de tout ce qui est petit autour de soi. Et, comme c’est un sujet à plus petite échelle que l’humain, alors cela devient une obsession ! Une passion ! Un sport que de tout observer ce qui est plus petit que soi.
De l’autre côté, il y a le matériel, la technique. Comment on photographie une araignée ? Es-ce qu’il faut s’approcher jusqu’à avoir ses yeux dans l’objectif, ou bien peut-on utiliser une plus longue focale pour rester à bonne distance ? Es-ce que la photo d’une libellule dans 20% du cadrage est considérée comme de la macrophotographie ? Quel est la différence entre la photo rapprochée et la macrophotographie ?
Toutes ces questions sont très légitimes, car, avec le temps, cela devient une habitude. Mais, pour le débutant dans cette discipline photographique, cela peut être très embêtant.
J’ai trouvé cette ressource web qui parle de pleins de trucs, autant de matériel que de technique photographique pour vous aider à démystifier la macrophotographie.
L’autofocus d’une caméra est un système très sophistiqué et sensible. Quand nous composons notre photographie, ce système se doit de réagit très rapidement aux moindres bougés du sujet, si le sujet n’est pas statique. Comme photographe, nous nous attendons bien évidemment à ce que ce système réponde rapidement aux moindres mouvements du sujet.
Dans une photographie à sujet statique, l’autofocus est en mode « facile », c’est-à-dire que le sujet ne bouge pas, le photographe choisit l’endroit propice pour effectuer la mise au point, et voilà ! Le déclencheur est enclenché et la photo captée par pe capteur de la caméra, les données sont ensuite manipulées par le processeur de la caméra et le rendu final affiché sur l’écran à l’arrière, ou dans le viseur pour certaines caméras dites « bridge » et enregistré sur la carte mémoire. Facile !
Mais, avec un sujet mobile, par exemple, un cycliste, l’autofocus de la caméra se doit de suivre le sujet, ce cela très rapidement. Et encore plus rapidement plus le sujet s’approche du photographe ! Pour cela, les compagnies font appels à des systèmes d’autofocus et de technologie très sophistiqués pour essayer autant que possible de garder le focus précis sur le sujet mobile.
Les systèmes ont évolués avec le temps et, aujourd’hui, nous assistons à presque une révolution tant l’ajustement et le suivi du focus est rapide. Pour un photographe, comprendre comment l’ajustement de focus de sa caméra fonctionne est primordial pour la précision des photographies. Pour un photojournaliste, cela l’est encore plus car, c’est la raison d’avoir la une du journal ou non !
Cet article explique avec précision comment l’autofocus des caméras fonctionne. Il est en anglais, mais mérite de s’y attarder. Il est une vraie merveille de renseignements !
Aujourd’hui, le temps est venu de comprendre l’histogramme, ce petit graphique qui accompagne chaque photo que vous prenez. Vous ne le savez pas mais il contient plus d’informations que vous ne le croyez !
Quoi de plus frustrant que de manquer une photographie parce que la lumière est trop sombre ou bien parce que la zone de haute lumière est trop prononcée et que nous perdons des détails ! Eh bien, l’histogramme peut vous venir en aide.
Par définition, un histogramme est un graphique en 2 dimensions, avec un axe X et Y. L’axe des X représente une plage de mesure, et l’axe des Y représente la quantité mesuré à chaque valeur X. Pour la photo, vous avez les teintes de noir et blanc sur l’axe des X et la quantité de pixels rapporté à chaque teinte sur l’axe des Y. Tout dépendant de la scène photographié, l’histogramme vous donnera une représentation graphique de cette scène, et vous pourrez juger à quel degré votre photo est sous-exposée ou sur-exposée, ou tout simplement bien exposée !
Pour le traitement d’images, il devient un outil indispensable pour évaluer les corrections apportées à la photo finale.
L’article suivant décrit en détails l’histogramme avec Adobe Photoshop™ :
Bien simple : c’est la relation entre la vitesse, le f:stop et l’ISO de la prise de vue.
Mais, comment ces trois fonctions sont reliées entre elles ? Pourquoi, parfois, si je change l’ISO, cela donne la même chose que si je change la vitesse ou le f:stop ? Pourquoi ma zone de netteté n’est pas comme je l’avais pensé ? Pourquoi j’ai du bruit dans le ciel sur ma photo ?
En fait, les trois choix, soit ISO, vitesse et f:stop, ont comme relation d’agir sur la lumière qui va frapper le capteur, et être enregistré et post-traité par le processeur de la caméra pour vous donner le résultat final. Par contre, chaque fonction a sa particularité, qui est très différente l’une de l’autre. Jouer avec ces trois fonctions représente l’essence de la photographie, autre que le mode AUTO sur votre caméra.
ISO : agit directement sur le capteur en augmentant ou diminuant le GAIN électronique (quantité de lumière absorbée par les photopiles). Augmente ou diminue le bruit de fond (grain dans la photo…).
Vitesse : change la rapidité avec laquelle le rideau s’ouvre et se ferme devant le capteur, pour soit augmenter ou diminuer la lumière captée, tout dépendant de la vitesse choisie. On appelle cela la vitesse d’obturation. Sujet flou ou net dans les scènes d’action.
F:stop : diaphragme de l’objectif qui permettra d’augmenter ou de diminuer la lumière transmise par l’objectif au capteur (exactement comme l’iris de l’oeil). Augmente ou diminue la profondeur de champ (zone de netteté).
Ces trois fonctions, interalliées ensemble, influencent à 1000% le résultat final de votre photo. Les comprendre vous facilitera la vie en photographie, et c’est le but de ce lien :
La période estivale fut un temps propice pour pratiquer votre passion de photographe. Pleins d’essais, de tests, de déceptions ainsi que de réussites ont été votre tasse de thé tout dépendant bien évidemment de la scène photographiée. L’automne vient avec du temps à passer devant l’ordinateur pour en faire le tri, et pour s’apercevoir que, parfois, les blancs ne sont pas toujours comme la scène que nous avions observée.
L’une des configurations les plus mythiques en photographie est la balance des blancs. Beaucoup de photographes s’en remettent à la caméra pour balancer les blancs pour avoir des couleurs justes lors du résultat final. Mais, qu’en est-il exactement de cette balance des blancs ?
Premièrement, pour bien comprendre et faire une analogie, il faut remonter à l’époque du film pour les anciens, et à notre oeil pour ceux qui n’ont jamais installé de film dans une caméra (les plus jeunes…). Anciennement, nous nous lancions dans les bras des compagnies productrices de films pour utiliser de la pellicule calibrée pour certains types de lumière (tungstène, lumière du jour, infrarouge…). Notre oeil, qui est la plus puissante caméra dans l’univers, capte les données de couleurs et les envoient au cerveau, qui en fait l’interprétation. Le cerveau est calibré « lumière du jour », c’est-à- dire qu’il fera tout en son pouvoir pour vous rendre une scène avec lumière ressemblant à la lumière du Soleil. Si il n’est pas capable de compenser, il vous rendra la scène comme la lumière affichée, mais dites vous bien qu’il aura fait le maximum d’effort pour vous aider à voir la scène du mieux qu’il peut. Et tout cela se fait automatiquement, sans que vous vous en rendiez compte.
Avec les caméras digitales d’aujourd’hui, les compagnies ont inventé un système de mesure de la balance des blancs automatisée. Bien entendu, ce système a été perfectionné avec le temps mais, il arrive parfois que le mode AUTO n’obéit pas comme il aurait dû (encore une fois, le combo oeil-cerveau est la plus puissante caméra…), résultant des photos décevantes ou non représentative de ce que l’on a capté avec la caméra.
Cet article explique en profondeur ce qu’es la balance des blancs. Il ne vous restera qu’à expérimenter et laisser tomber le mode AUTO pour varier votre créativité ! Qui sait, cette photo à l’origine banale finira peut-être en 20×30 sur le mur dans votre domicile ou au bureau !
Comme tout photographe, je me pose parfois la question suivante : « Devrais-je photographier au format RAW ou bien JPEG ? »
Bien évidemment, il y a les défenseurs du RAW et aussi les défenseurs du JPEG sur Internet. Et je suis certain que, si vous discutiez avec chacun d’entre eux, ils auraient chacun leurs raisons valables de vous convaincre de photographier dans l’un des deux formats.
Pour ma part, j’ai bien mentionné que je me pose la question mais, en vérité, je ne me la pose pas très souvent. Je photographie TOUJOURS en RAW car je post-traite toujours mes photographies, et je n’ai pas l’occasion de pratiquer le métier de photographe professionnel où je devrais fournir les photos très rapidement. Donc, pour moi, le format RAW est l’idéal. Il faut comprendre que, pour le journalisme, le format JPEG est l’idéal car ils doivent éviter le post-traitement le plus possible pour maximiser la rapidité à laquelle ils doivent fournir les photographies. Donc, pour eux, JPEG est le format de choix ! En RAW, rien n’est scellé dans la photo. En fait, le format RAW n’est qu’un amalgame de data binaire qui dit à un logiciel qui est capable de l’interpréter comment afficher la photo, tout dépendant de vos configurations de base dans la caméra. Mais celles-ci sont disponibles pour toute altération dans le logiciel. Tandis que, le format JPEG contient des paramètres scellés très difficile à changer dans un logiciel de traitement d’image.
Cet article explique les pours et les contres des deux formats.
La netteté des images est critique en photographie. Beaucoup de gens sont confus entre une image nette et une image « tack sharp ». Et, dans cette confusion, plusieurs pensent que leur image est « tack sharp » alors qu’elle est nette, sans plus. Cependant, il ne faut jamais dépasser la ligne critique de la netteté, et il ne faut aussi pas sous-estimer la sauvegarde en JPEG qui peut ruiner une photo si la sauvegarde n’est pas bien configuré et exécuté.
La différence entre nette et « tack sharp » peut faire en sorte que votre image passe de « …ok, belle image… » à « … WOW ! Toute une prise de vue !… »
Malheureusement, ou heureusement je devrais dire, la netteté commence à la prise de vue elle même. Avec les techniques de prises de vue appropriés, comment manipuler le trépied, la position du photographe et j’en passe, votre photo peut facilement passer de « nette » à « tack sharp ».
Ce petit tutoriel se veut un exemple de comment appliquer de la netteté sur une image, sans outrepasser la mesure. Bien évidemment, il ne se substitue absolument pas à une bonne technique photographique de base !
La gestion des couleurs en photo… cela veut dire quoi au juste ?
Pour que la photo visionnée nous plaise, il faut, en fait, que les couleurs soient ajustées partout ou l’on a un médium digital. Par le passé, je veux référer à l’époque du film, tout était plus facile à gérer grâce aux compagnies qui étiquetaient leur film pour certains types de lumière. En digital, la porte est grande ouverte aux erreurs et, souvent, les gens sont déçus du rendement de leur écran ou rendu final.
Tout cela commence par une bonne perception des couleurs par notre oeil. S’habituer à regarder les dominantes, et essayer de trouver dans quelle gamme cette dominante est exactement. Puis, quelle couleur devrais-je y apporter pour corriger cette dominante. Cela aura pour exercice de vous familiariser avec les couleurs de base et les couleurs complémentaires. Une bonne calibration de couleur commence par une caméra calibrée. Vient par la suite l’écran, et finalement l’imprimante si l’on désire imprimer nos photos. Mais le chemin n’est pas si facile qu’il en a l’air ! Comprendre tout ces termes techniques et surtout, comment les appliquer dans la routine et la prise de vue, peut devenir très compliqué, voir même décourager le photographe.
Cet article, très complet, vous enseignera la gestion des couleurs avec une très grande précision et très bien vulgarisé.
En art, la règle des tiers est bien connue. Elle permet à l’oeuvre d’avoir du dynamisme en plaçant les points forts de l’image sur la croisée de 4 lignes qui séparent l’image en 3 tiers horizontaux et 3 tiers verticaux (exactement comme un Tic Tac Toe). Ces 4 points de croisement sont appelés les points forts de l’image. Ce sont des points qui attirent l’oeil lorsque nous regardons une oeuvre, qu’elle soit de la peinture, une photographie, un film (cinématographique), un dessin ou tout autre forme d’art. Donc, pour donner de l’effet, on peut y placer un point de fuite, un oeil, la jonction d’une route. IL y a pleins de possibilités, tout dépendant bien entendu du sujet photographié.
Bien évidemment, les règles sont faites pour être respectées (théoriquement…). Mais, l’audace des nouveaux créateurs poussent le talent à aller jusqu’à briser cette règle de base. Et c’est bien ainsi car, en art, la diversité est primordiale. Mais, avant de commencer à placer nos sujets n’importe où dans le cadre, il est bien de connaître au moins la règle d’or de base, qu’es la règle des tiers. Cette règle est une règle parmi un cercle bien connu de règles en art ; elle n’est pas unique et ne se prétend aucunement le GOLD STANDARD ! Tout cela va de soit avec la lecture d’une image ainsi que les lignes directrices.
Cet article, trouvé sur le web, explique et vulgarise bien le principe de la règle des tiers. N’hésitez surtout pas à essayer des cadrages différents car, en fin du compte, vous pourriez vous démarquer et obtenir un succès fou !
Vous êtes vous déjà demandé ce qu’es la classification des cartes mémoires SD ? Que veut-dire le chiffre entouré d’un cercle sur la carte ? Et, aussi, à quoi fait référence le —X ? Que veut-dire la vitesse de lecture et d’écriture sur la carte ? Laquelle choisir avec ma nouvelle caméra ? Si je fais du vidéo, es-ce que ma nouvelle carte sera assez rapide pour suivre, en écriture, la vitesse de capture ?
Le choix d’une carte mémoire est critique pour certaines occasions photographiques ou vidéos. Chaque caméra à ses propres spécifications de vitesse d’écriture et de lecture de fichiers, et il en va de soi de bien choisir sa nouvelle carte mémoire » trop de fois je lis ou entends que il faut la carte la plus rapide possible pour la caméra utilisée, alors que, très souvent, la carte est plus rapide que la vitesse d’écriture de la caméra. Je lis aussi souvent l’inverse, où les gens se soucient peu de la vitesse de la carte et se plaignent qu’ils ne peuvent atteindre les spécifications des fabriquants au sujet de la vitesse d’écriture, et leur mémoire tampon se remplit plus rapidement que ce que dit la théorie !
Eh bien, ne cherchez pas plus loin ! Lexar a produit un document expliquant en détails la classification de ces cartes, ainsi que la définition du chiffre précédant le X.
Ces données sont en accord avec l’organisation SD, qui possède un site web qui peut être consulté au : SD ASSOCIATION
Vous pouvez télécharger le document anglais ici avec le lien suivant :
Ce document n’est disponible qu’en anglais malheureusement… Les vitesses mentionnées dans ce document sont valides pout tout type de carte ; donc, une carte SD à 600X est équivalente, en vitesse d’écriture, à une carte Compact Flash de 600X. VOus pouvez vous baser sur les vitesses écrites dans ce document pour la vitesse de votre carte Compact Flash. Cependant, la CLASSE n’appartient qu’aux cartes SD.
Il est impératif de connaître la vitesse d’écriture de votre caméra sur la carte mémoire. Bien choisir la carte vous procurera la joie d’utiliser votre caméra à son plein pouvoir, le temps venu (du genre photos en rafales…).
Bonne lecture de chevet et j’espère que cette nouvelle information vous permettra de mieux choisir votre prochaine carte SD ! 😀
Quand je regarde des photos sur le web, l’une des premières erreurs que je rencontre est un horizon très souvent non horizontal. Parfois, dans certaines scènes, disons de montagne par exemple, il est difficile de dire si l’horizon est droit ou non, ou photographié volontairement de cette façon comme on voit souvent dans des photos de mode ou d’action. Mais, prenons l’exemple d’un oiseau sur l’eau avec le bord du lac en arrière plan, ou un coucher de Soleil, il est, disons pas usuel de voir le lac ou la mer se vider à gauche ou à droite !
Voici un tutoriel très simple sous Photoshop CC 2014 qui vous permettra de remettre l’horizon droit en moins de 5 minutes.
NOTE : mes logiciels, peu importe lesquels, sont tous en anglais. Je m’excuse sincèrement de ne pas pouvoir vous fournir quelque chose en français mais, si vous avez Photoshop ou Photoshop Element en français, vous pourrez sûrement retrouver votre chemin facilement ! Il est possible aussi que d’autres logiciels, comme PaintShop Pro X, ait un chemin semblable.
Vous pouvez cliquer sur les images pour les agrandir.
1- Ouvrez votre image dans Photoshop :
Comme vous le voyez ici, l’océan pacifique se vide vers la gauche (cette photo a été prise en Californie), ce qui est inacceptable point de vue photographique (à moins que ce ne soit votre goût… ils ne sont pas à discuter) !
2- Cliquez sur l’outil CROP à gauche dans la barre d’outil :
Vous obtiendrez une boîte de CROP sur votre image comme ici :
3- Cliquez sur le petit niveau (à gauche de STRAIGHTEN…) en haut de l’écran :
En cliquant sur cet outil, votre curseur de souris devient une petite croix avec le petit niveau à sa droite :
4- Amenez le petit curseur sur l’horizon, cliquez, gardez le doigt sur le bouton et glissez le curseur sur l’horizon, disons 2 à 5cm suffisent :
En relâchant le bouton de souris, vous obtiendrez une petite boîte noire dans laquelle la correction en degrés a été effectuée et la photo se redresse automatiquement. Faites TRÈS ATTENTION pour bien suivre l’horizon ou tout autre ligne droite dans la photo (cette correction s’applique très bien aussi pour des photos d’architecture, quoi que Photoshop CC a un outil fait exprès pour cela…) car la correction appliquée dépendra de votre précision à tracer cette ligne. Si vous n’êtes pas satisfait de la correction, tout ce que vous avez à faire est de peser sur ESC (escape) et recommencer le tout.
Ici nous avons fait une correction de 0,7 degrés (positive) car l’image a été redressée vers la droite. Si le chiffre a le signe moins (-) devant, c’est que la correction est négative, c’est-à-dire que l’image a basculée vers la gauche.
Photoshop vous offre le maximum disponible pour le crop en redressant l’image et rognant ce qui sort de la zone vu le redressement. Si vous désirez changer le ratio du crop, c’est-à-dire ne prendre qu’une partie de l’image, vous pouvez faire glisser-déplacer les poignées de l’écran crop (dans les 4 coins et sur chaque côté dans le milieu…) et redimensionner l’image à votre goût. Un coup les dimensions à votre goût, vous n’avez qu’à double cliquer dans l’image pour effectuer la commande CROP ou cliquer sur le crochet en haut dans la barre d’outil ! Et voilà, vous avez une photo redressée en moins de 5 minutes !
Voici le résultat final :
J’espère que cela vous sera utile avec vos prochaines photos !
La photographie HDR est une particularité de l’art photographique qui fascine beaucoup de gens. De plus en plus de gens pratiquent cette discipline, le but étant, très souvent, de seulement colorer la photo et lui donner un effet « Grunge ».
Mais, en fait, le HDR, c’est bien plus que cela !
Quand vous prenez une photo, le capteur est influencé par la différence entre les noirs et les blancs, passant par toute la gamme des couleurs. Cela se nomme la plage dynamique du capteur dans la caméra. Chaque caméra a son capteur unique et la plage dynamique varie avec chaque type de capteur. Un capteur CCD n’a absolument pas la même plage dynamique qu’un capteur CMOS par exemple. Et, en plus, vu que les logiciels de pré-traitement dans les caméras sont de plus en plus poussés, ils ont une influence directe sur la plage dynamique (façon de traiter l’information). Tout cela n’est valable que si vous photographiez en RAW (format brut), car, en JPEG, tout est scellé dans la photo et il est très difficile de faire ressortir les détails dans les noirs et les blancs par la suite. Si vous avez un blanc qui est presque cramé sur votre photo, la sauvegarde JPEG le rendra cramé au maximum (expression blanc brûlé…).
En photographiant les scènes voulues pour le HDR en mode « bracketing », c’est-à-dire différentes photos avec un changement constant soit de f’stop, vitesse ou ISO entre chaque, vous obtiendrez une série parfaite pour le post-traitement HDR car vous aurez capté le plus d’informations possibles pour donner l’opportunité au logiciel de post-traitement HDR d’afficher ces détails, ce qui est excessivement difficile à faire qu’avec une seule photo (tout dépendant de la plage dynamique, bien entendu…)
Cet article décrit en détails les étapes du mode HDR, ainsi que le logiciel utilisé pour l’exemple. Ils utilisent Photomatix Pro mais il y a aussi HDR Efex Pro 2 de Google-Nik et un mode HDR dans Photoshop CC 2014 :